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L'école du village Tifrit n'Ath Oumalek porte son nom.
Cherf Si Ahmed né le 15 juillet 1927 tombé au champ d'honneur en 1961.
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Peut-on rendre hommage en quelques mots seulement ? Djamel Tahir : Un homme ordinaire, mais grand par sa simplicité, sa bienveillance, ses convictions, son humour, son dévouement envers ses compatriotes... Au sein du village, il incarne un symbole pour toute une génération, encore aujourd'hui.
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Cet enfant s’appelle « Oumalek ». Son arrière grand père était de Tifrit n’Ath Oumalek. Il s’est installé dans la région de Beni Douala comme l’avaient fait beaucoup de nos concitoyens pour aller prêcher la bonne parole, enseigner dans les mosquées ou pour toute autre raison.
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E.M. Mouhoud, connu également sous le nom de El Mouhoub Mouhoud, est professeur d’économie à l’Université Paris-Dauphine. E.M Mouhoud a été le premier économiste en France à mettre en évidence et à analyser tant sur le plan théorique qu’empirique, le phénomène de relocalisation industrielle.
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Quand elle est réveillée par le cri venant de l'extérieur passant à travers la charpente sous les tuiles de sa vieille maison kabyle, déchirant les ténèbres de la nuit souvent hivernale, une voix étouffée, mais alarmante, d'une sonorité bien particulière qui ne pouvait s'adresser qu'à elle, appelante : « WA NA-FADHMA... ! »
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Les grands artistes ont la possibilité d’exprimer, non seulement leurs sentiments profonds et leurs sensations les plus complexes, mais ils peuvent aussi sentir la douleur et la joie des autres, en gardant l’œil clairvoyant sur le présent et l’avenir.
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Kaci Hand dit Hand El Paris est un homme qui aura marqué d’une pierre blanche sa propre histoire et l’histoire de la cité d’Ighil Boukiassa. C’est à Paris, durant les années 70, qu’on le caractérisa du surnom de « Hand El Paris », une identification dont l’explication se trouve dans le nom précisément.
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Hadj Brahim le vieux tunisien vendeur de Zlabia très connu et respecté à Bouzeguene, à 70 kilomètres est de Tizi-ouzou, parle bien la langue de Matoub Lounes et de Mouloud Mammeri, le Kabyle.Nous sommes passés le voir ce 3 février 2010, pour vous rapporter la preuve qu'il manie bien la langue kabyle qu'il a apprise après 42 ans passées à Bouzeguene, aarch ath yedjar.
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Qui ne connait pas Mustapha, la quarantaine d’âge, originaire du village de Mehagga dans la commune d’Idjeur. Avant d’être aujourd’hui un homme, Mustapha a vécu une enfance pas du tout heureuse.